LES POLITICIENS DES COMORES
http://politiciens-comores.blogs.fr/
MARAYISSI - MAWAZIRI - MAMUDIRU DJIMLA - WATANLAMU WA SIYASSApoliticiens-comores2021-02-07T11:35:51+01:00frpoliticiens-comoresLES POLITICIENS DES COMOREShttp://politiciens-comores.blogs.fr/
http://politiciens-comores.blogs.fr/
KAFE SAID MAHDI SOILIHI
http://politiciens-comores.blogs.fr/index.html#a140549
<div id="result_box" dir="ltr" align="justify"><font face="Times New Roman"><font size="4"><font color="#ff0000">Said Mahdi Soilihi Kafé</font> (1937 - 25 mai 2002) était une figure emblematique de la politique comorienne dans le régime d'Ahmed Abdallah. Il a servi comme ministre des finances de 1978 à 1982, et le ministre des affaires étrangères de 1982 à 1990 . Il a quitté ses fonctions peu de temps après le 1989 de coup d'État dans lequel Abdallah a été tué. Il est né sur <font color="#ff0000">Mayotte</font> et mort à Paris , France.</font></font></div>KAFE SAID MAHDI SOILIHIMahamoud MRAADABI
http://politiciens-comores.blogs.fr/index.html#a140548
<font color="#ff0000">
<p align="justify"><font face="Times New Roman" size="4">Mahamoud Mraadabi </font><font face="Times New Roman" size="4">est né à Moroni. Son père était un notable-politicien de Mitsamihuli. Il a commencé sa carrière militaire dans l'armée française qu'il quitte avec le grade de sergent. Revenu dans son pays, il s'occupe du ravitaillement des avions en kérosène à l'aéroport, avant de devenir, sous la présidence d'Abdallah, le Directeur inamovible de la société d'État SCH (Société comorienne des Hydrocarbures ).</font></p>
</font>
<p align="justify"><font face="Times New Roman" size="4"></font></p>
<p align="justify"><font face="Times New Roman" size="4"> </font></p>
<p align="justify"><font face="Times New Roman" size="4">La société passe pour avoir alimenté plusieurs opérations politiques sous Ahmed Abdallah, et après. À la mort de celui-ci, Mraadabi est une des deux personnes que Bob Denard a contacté (selon un témoignage lors du procès à Paris du mercenaire français). Bob Denard lui aurait alors demandé de prendre le pouvoir. Mais comme les autres personnalités comoriennes qui seront contactées, il refuse.</font></p>
<p align="justify"><font face="Times New Roman" size="4"></font></p>
<p align="justify"><font face="Times New Roman" size="4"> </font></p>
<p align="justify"><font face="Times New Roman" size="4">Il a commencé à connaître des inquiétudes quant à son maintien à la tête de la SCH sous Taki. Suite à un rapport d'une organisation internationale sur la SCH, il est convoqué par un juge. Dans une lettre rendue publique à cette époque, il explique son refus de se rendre à cette convocation, et l'enquête sur des détournements à la SCH s'arrête-là.</font></p>
<p align="justify"><font face="Times New Roman" size="4"></font></p>
<p align="justify"><font face="Times New Roman" size="4"> </font></p>
<p align="justify"><font face="Times New Roman" size="4">En 1999, son fils, le capitaine Fakriddine Mahmoud Mraadabi est dans le camp du colonel Azali, et l'opinion publique pense que Mraadabi doit récupérer le pouvoir après le retrait des militaires promis aux Comoriens par Azali.</font></p>
<p align="justify"><font face="Times New Roman" size="4"></font></p>
<p align="justify"><font face="Times New Roman" size="4"> </font></p>
<p align="justify"><font face="Times New Roman" size="4">En tout cas, il accepte de céder son poste de Directeur, et entre réellement en politique avec son parti Shawiri. Au début de l'année 2001, il entreprend une tournée auprès de la Diaspora comorienne en France. L'opération se révèle périlleuse pour l'image de Mraadabi.</font></p>
<p align="justify"><font face="Times New Roman" size="4"></font></p>
<p align="justify"><font face="Times New Roman" size="4"> </font></p>
<p align="justify"><font face="Times New Roman" size="4">En province, ses meetings sont chahutés, alors qu'il est accompagné par des "mamans", essentiellement de Moroni. Les sections des partis politiques comoriens en France s'en prennent à son action à la tête de la SCH.</font></p>
<p align="justify"><font face="Times New Roman" size="4">Sa réponse fut, dès son retour au pays d'assigner le Directeur de publication de la Gazette des Comores en justice pour avoir publié un communiqué des partis en France. Après quelques incidents, les avocats de l'homme d'affaires négocient une entente à l'amiable.</font></p>
<p align="justify"><font face="Times New Roman" size="4"></font></p>
<p align="justify"><font face="Times New Roman" size="4"> </font></p>
<p align="justify"><font face="Times New Roman" size="4">Depuis près d'un an Mraadabi s'est concentré sur les élections annoncées dans l'Union des Comores. Il a aidé et continue à aider financièrement de nombreuses personnes, surtout dans la capitale, et a pu ainsi s'attirer leur sympathie. Cela devrait compter dans les élections à venir.</font></p>Mahamoud MRAADABIMOHAMED TAKI ABDOULKARIM
http://politiciens-comores.blogs.fr/index.html#a140547
<font face="Times New Roman" size="5"><strong><font color="#ff0000">
<p align="justify"><font size="4">Mohamed Taki Abdulkarim</font><font size="4"> </font><font size="4">(1936 - 1998 ) fut président des Comores de 1996 à sa mort. Né à Mbéni à la Grande Comores et issu d'une famille privilégiée, petit-fils du Djumbé Fumu, descendant du sultan Msa Fumu. Il part faire ses études à Madagascar puis en France où il obtient un diplôme d'ingénieur en </font><a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Travaux_publics"><u><font color="#0000ff"><font size="4">travaux publics</font></font></u></a><font size="4"> . </font></p>
</font></strong>
<p align="justify"><font size="4"> </font></p>
<p align="justify"><font size="4">De retour aux Comores, Said Mohamed cheikh le nomme responsable des travaux publics à Anjouan ou il fait la connaissance d'Ahmed Abdallah.</font></p>
<p align="justify"><font size="4"> </font></p>
<dir><dir><u><font color="#0000ff">
<p align="justify"><a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/1970"><u><font color="#0000ff"><font size="4">1970</font></font></u></a><font size="4"> : ministre du développement dans le deuxième gouvernement de </font><a href="http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Said_Ibrahim_Ben_Ali&action=edit"><u><font color="#0000ff"><font size="4">Said Ibrahim Ben Ali</font></font></u></a><font size="4"> </font></p>
</font></u><u><font color="#0000ff">
<p align="justify"><a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/1971"><u><font color="#0000ff"><font size="4">1971</font></font></u></a><font size="4"> : ministre de l'éducation </font></p>
</font></u><u><font color="#0000ff">
<p align="justify"><a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/1972"><u><font color="#0000ff"><font size="4">1972</font></font></u></a><font size="4"> : ministre du développement rural sous le gouvernement de </font><a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Sa%C3%AFd_Mohamed_Jaffar"><u><font color="#0000ff"><font size="4">Saïd Mohamed Jaffar</font></font></u></a><font size="4"> </font></p>
</font></u>
<p align="justify"><font size="4"> </font></p>
<u><font color="#0000ff">
<p align="justify"><a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/1973"><u><font color="#0000ff"><font size="4">1973</font></font></u></a><font size="4"> : ministre de l'équipement sous Ahmed Abdallah dont il est proche </font></p>
</font></u><u><font color="#0000ff">
<p align="justify"><a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/1975"><u><font color="#0000ff"><font size="4">1975</font></font></u></a><font size="4"> : ministre de l'intérieur </font></p>
</font></u></dir></dir>
<p align="justify"><font size="4">Il se réfugie à Mbéni lors du régime d'</font><a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Ali_Soilih"><u><font color="#0000ff"><font size="4">Ali Soilih</font></font></u></a><font size="4">, résiste par une pratique de </font><a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9sob%C3%A9issance_civile"><u><font color="#0000ff"><font size="4">désobéissance civile</font></font></u></a><font size="4">, et finit en prison après l'intervention des </font><a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Mercenaire"><u><font color="#0000ff"><font size="4">mercenaires</font></font></u></a><font size="4">.</font></p>
<p align="justify"><font size="4"> </font></p>
<dir><dir><u><font color="#0000ff">
<p align="justify"><a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/1978"><u><font color="#0000ff"><font size="4">1978</font></font></u></a><font size="4"> : secrétaire du Conseil du </font><a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Directoire_%28homonymie%29"><u><font color="#0000ff"><font size="4">directoire</font></font></u></a><font size="4"> présidé par Ahmed Abdallah </font></p>
</font></u>
<p align="justify"><font size="4">1978-</font><a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/1984"><u><font color="#0000ff"><font size="4">1984</font></font></u></a><font size="4"> : président de la Chambre des députés </font></p>
</dir></dir>
<p align="justify"><font size="4">Il rompt avec Abdallah et se réfugie en France.</font></p>
<p align="justify"><font size="4"> </font></p>
<dir><dir><u><font color="#0000ff">
<p align="justify"><a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/1990"><u><font color="#0000ff"><font size="4">1990</font></font></u></a><font size="4"> : retour au pays et candidat aux élections après la mort d'Abdallah; </font><a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Said_Mohamed_Djohar"><u><font color="#0000ff"><font size="4">Said Mohamed Djohar</font></font></u></a><font size="4"> élu après 3 tours car des fraudes ont étés commises </font></p>
</font></u><u><font color="#0000ff">
<p align="justify"><a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/1992"><u><font color="#0000ff"><font size="4">1992</font></font></u></a><font size="4"> : vu comme l'homme de la France dont Djohar essaie de se rapprocher; nommé responsable de l'action gouvernementale </font></p>
</font></u><u><font color="#0000ff">
<p align="justify"><a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/1995"><u><font color="#0000ff"><font size="4">1995</font></font></u></a><font size="4"> : prend le pouvoir avec </font><a href="http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Said_Ali_Kemal&action=edit"><u><font color="#0000ff"><font size="4">Said Ali Kemal</font></font></u></a><font size="4"> après le </font><a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Coup_d%27%C3%89tat"><u><font color="#0000ff"><font size="4">coup d'État</font></font></u></a><font size="4"> de </font><a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Bob_Denard"><u><font color="#0000ff"><font size="4">Bob Denard</font></font></u></a><font size="4"> </font></p>
</font></u>
<p align="justify"><font size="4"> </font></p>
<p align="justify"><font size="4">1996 : élu président des Comores </font></p>
<p align="justify"><font size="4">1998 : décède dans des circonstances qui paraissent étranges (les soupçons allaient naturellement vers </font><a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Bob_Denard"><u><font color="#0000ff"><font size="4">Bob Denard</font></font></u></a><font size="4"> dont Taki avait peu de temps auparavant refusé le retour) </font></p>
<p align="justify"><font size="4"> </font></p>
</dir></dir>
<p align="justify"><font size="4">Le bilan de son action en tant que président est vivement critiqué : Les </font><a href="http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=P%C3%A9nurie&action=edit"><u><font color="#0000ff"><font size="4">pénuries</font></font></u></a><font size="4"> qui se sont multipliées et systématisées, l'indépendance d'Anjouan qui a été déclaré ainsi que le musellement total de la presse et des partis d'opposition n'ont pas laissé un bon souvenir. </font></p>
<p align="justify"><font size="4"> </font></p>
<p align="justify"><font size="4">Son gouvernement s'est accompagné aussi d'un certain nombre de mesures symboliques car souvent inapplicables, marquant un désir de retour vers l'</font><a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Islam"><u><font color="#0000ff"><font size="4">islam</font></font></u></a><font size="4"> : interdiction de vente d'alcool, des mini-jupes, remplacement systématique des mots d'origine </font><a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ais"><u><font color="#0000ff"><font size="4">française</font></font></u></a><font size="4"> par des mots d'origine </font><a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Langue_arabe"><u><font color="#0000ff"><font size="4">arabe</font></font></u></a><font size="4"> dans les discours, etc. </font></p>
<p align="justify"><font size="4">Après sa mort, le pays entre alors dans une période d'instabilité politique et institutionnelle qui conduira à un nouveau coup d'État en </font><a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/1999"><u><font color="#0000ff"><font size="4">1999</font></font></u></a><font size="4">.</font></p>
</font>MOHAMED TAKI ABDOULKARIMMADAME MOHAMED , SITTOU RAGHADAT
http://politiciens-comores.blogs.fr/index.html#a140546
<p align="justify"><font face="Times New Roman" size="4">Madame <strong><font color="#ff0000">Sittou Raghadat Mohamed </font></strong> </font><font face="Times New Roman" size="4">est la première femme Ministre et élue député des Comores. Née le 6 juillet 1952 à Ouani-Anjouan. Elle est qualifiée par les médias Comoriens de " <em>symbole de la lutte des femmes comoriennes</em> " (Le magazine Comores-Mag n°16 du 23 mars 2007) ou de la " <em>pionnière et la référence en matière de femmes aux Comores</em> " (Journal Kashkazi n°26 du 2 février 2006) . </font></p>
<p align="justify"><font face="Times New Roman" size="4"></font></p>
<p align="justify"><font face="Times New Roman" size="4"> </font></p>
<p align="justify"><font face="Times New Roman" size="4">Elle a enseignée pendant plusieurs années le français et l’histoire-géographie dans différents collèges du pays et au Lycée Saïd Mohamed Cheik de Moroni avant d’être nommée secrétaire d’Etat à la condition féminine et à la population en 1991 par le Président Saïd Mohamed Djohar.</font></p>
<p align="justify"><font face="Times New Roman" size="4"></font></p>
<p align="justify"><font face="Times New Roman" size="4"> </font></p>
<p align="justify"><font face="Times New Roman" size="4">De 1991 à 1996 elle a assumé de hautes responsabilités politiques : Haut commissaire à la condition féminine, Ministres des affaires sociales, conseiller spécial du président de la république, secrétaire général adjoint du gouvernement, élue député ….</font></p>
<p align="justify"><font face="Times New Roman" size="4"></font></p>
<p align="justify"><font face="Times New Roman" size="4"> </font></p>
<p><font face="Times New Roman" size="4">Actuellement, elle est enseignante à l’IFERE ( Institut de Formation des Enseignants et de Recherche en Education ) à<font color="#ff00ff"> </font>l'Université des Comores et Préside le FAWECOM (Forum des Educatrices aux Comores) , une antenne de l'ONG FAWE (Forum des Educatrices Africaines .</font></p>MADAME MOHAMED , SITTOU RAGHADATMTARA MAECHA
http://politiciens-comores.blogs.fr/index.html#a140545
<font face="Times New Roman" size="5">
<p align="justify"><font color="#ff00ff">Mtara Maecha</font> est né le 28 février 1940 à Mitsamiouli (Grande Comore). Marié et père de 3 enfants. Il est Docteur en Médecine, diplômé d'Etat de l'Université de Paris VII (Gynécologie-Obstétrique). Commandeur du Croissant Vert (Union des Comores) et Grand Officier de la Légion d'Honneur (France). </p>
<div class="story">
<p align="justify"><font color="#ff00ff">Mtara Maecha</font> fait de la politique depuis plus de vingt-cinq ans. Et en vingt-cinq de politique, il a échoué deux fois à la magistrature suprême des Comores, en 1996 et en 2004. Et une fois aux présidentielles de l'île autonome de Ngazidja en 2002.</p>
<p align="justify">Cependant, il fut à plusieurs reprises locataire d'un ministère dans divers gouvernements, allant jusqu'à obtenir le fauteuil du ministre des affaires étrangères et de la Coopération , en 1990. Il a connu la geôle comme opposant politique. </p>
<p align="justify">Il en sort renforcé dans ses convictions politiques ; il continue à faire de la politique, et depuis 1999, il se bat contre le régime militaire qui dirige l'archipel sous le colonel Azali. Il refuserait d'ailleurs à rallier le gouvernement qu'il considérait illégitime. </p>
<p align="justify">Et en 2004, après son échec aux élections présidentielles de l'Union, en bon perdant opportuniste, il rallie au deuxième tour, le candidat SAMBI, en brandissant ce slogan : <em><font color="#ff00ff">Hier l'opacité, demain la transparence avec Mtara Maecha et SAMBI</font> </em>. </p>
<p align="justify">Affairiste pour ses adversaires politiques, docteur gynéco-obstétricien quand il n'exerce pas de hautes fonctions au sein de l'Etat, <font color="#ff00ff">Mtara Maecha</font> a choisi tout naturellement sa ville natale Mitsamiouli pour débuter sa campagne.</p>
<p align="justify">Entouré d'une équipe plus que jamais préparée, soutenu par tous les délégués de son parti, le RDR ( Rassemblement pour la démocratie et le renouveau ) et les représentants de toutes les régions de Ngazidja, le candidat docteur Matara Maecha a défini les axes de son projet de société, tels l'éducation, l'environnement, la santé et le tourisme. Il fait de l'éducation sa priorité qui doit rester l'apanage de l'Etat. </p>
<p align="justify">Ce qui n'était pas le cas, quand il a été ministre des Affaires sociales, en 1978, un ministère qui englobait l'Education nationale, la santé et le sport. Et quant au tourisme, pourra-t-il faire mieux qu'en 1981 et 1997, lors de son passage au ministère des Transports et du Tourisme ?</p>
<p align="justify">Mtara Maecha,, homme politique influent, reconnu et respecté en tant que grand médecin, pourra-t-il convaincre une population habitué aux légères turpitudes de ceux qui sont censés défendre leurs droits, lutter contre la misère, l'insalubrité et autres maux rongeant la société ? Son programme basé sur des théories d'école et peu efficaces, reflète-t-il la réalité du pays ? </p>
<p align="justify">Et comment compte-t-il convaincre la jeunesse comorienne désabusée, sacrifiée et laisser-pour-compte, lui qui fut de celle qui a tout obtenu de l'Etat ? Une fois au pouvoir, saura-t-il rester indifférent à ces petites choses qui ont fait la richesse des uns et causé l'inertie de tout un pays ? </p>
<p align="justify">Le Dr Mtara Maecha, expérimenté et fort d'un programme minutieusement préparé, se présente et échoue donc pour la deuxième fois, à l'élection présidentielle de l'île autonome de Ngazidja, en 2007 . </p>
</div>
</font>MTARA MAECHAMIDILADJI NOURDINE
http://politiciens-comores.blogs.fr/page_2.html#a140544
<div id="result_box" dir="ltr"><font face="Times New Roman" size="5"><font color="#ff00ff">Nourdine Midiladji</font> est un homme politique aux Comores . Il a terminé 5e de l'élection avec seulement 8,49% au premier tour de scrutin . Il n'a pas les conditions requises pour le ruissellement. Il a été ministre de la Solidarité en vertu de l'ancien président Azali Assoumani à partir de janvier 2003 jusqu'en mai 2006.</font></div>MIDILADJI NOURDINEMOHAMED ABDALLAH
http://politiciens-comores.blogs.fr/page_2.html#a140543
<div id="result_box" dir="ltr"><font face="Times New Roman" size="5">Abdallah Mohamed est mort en 2000 . Il a été un homme politique . Il a servi en tant que premier ministre des Comores depuis le 7 janvier 1976 au 22 décembre 1978 . </font></div>
<div dir="ltr"><font face="Times New Roman" size="5"></font></div>
<div dir="ltr"><font face="Times New Roman" size="5">Pour la plupart de l'époque, il était sous le président Ali Soilih . Après Soilih est renversé et tué lors d'un Coup d'État, Mohamed resté en fonctions pendant quelques mois dans le cadre du nouveau régime d'Ahmed Abdallah. Il a finalement été rejeté, cependant .</font></div>MOHAMED ABDALLAHMOHAMED SAID DJOHAR
http://politiciens-comores.blogs.fr/page_2.html#a140542
<p><font face="Times New Roman"><font size="5"><strong><font color="#ff00ff">Said Mohamed Djohar</font></strong> est né le 22 aout 1918 </font></font><font face="Times New Roman" size="5">et décédé dans la nuit du 22 février 2006</font><font face="Times New Roman" size="5"> à son domicile de Mitsamiouli . U</font><font face="Times New Roman" size="5">n homme politique </font><font face="Times New Roman" size="5">. Président des comores d</font><font face="Times New Roman" size="5">e 1992 au 28 septembre 1995 .</font></p>
<p><font face="Times New Roman" size="5">Né à Majunga ( Madagascar ) </font><font face="Times New Roman" size="5">, il est nommé instituteur en 1946</font><font face="Times New Roman" size="5"> et est élu au Conseil général. Il est dès lors un fidèle de said mohamed cheikh</font><font face="Times New Roman" size="5"> et participera à plusieurs gouvernements que présidera ce dernier. De juin à octobre 1972 </font><font face="Times New Roman" size="5">, il est président de la Chambre des députés. </font></p>
<p><font face="Times New Roman" size="5">De 1973</font><font face="Times New Roman" size="5"> à l'indépendance , 1975 ,</font><font face="Times New Roman" size="5"> il est représentant des Comores à Madagascar. Il ne fait reparler de lui qu'après le retour au pouvoir d'Ahmed Abdallah en 1978</font><font face="Times New Roman" size="5"> et devient président de la Cour suprême.</font></p>
<p><font face="Times New Roman" size="5">Le 27 novembre 1989 , </font><font face="Times New Roman" size="5"> il devient président par intérim après le coup d'Etat de Bob denard</font><font face="Times New Roman" size="5"> qui renverse Abdallah . Il est ensuite élu le 11 mars 1990</font><font face="Times New Roman" size="5"> président dans des élections contestés face à Mohamed taki </font><font face="Times New Roman" size="5">. Il chasse les mercenaires</font><font face="Times New Roman" size="5"> mais est finalement renversé par Denard avec l'appui de la France</font><font face="Times New Roman" size="5"> et exilé de force à la Réunion </font><font face="Times New Roman" size="5">. Il ne revient qu'une fois les élections présidentielles annoncées.</font></p>
<p><font face="Times New Roman" size="5">Sa présidence a toujours été contesté, par exemple en 1991</font><font face="Times New Roman" size="5"> lorsque le président de la Cour suprême le déclare inapte et cherche à le destituer. <font color="#ff00ff">Djohar</font> a toujours cherché à faire reposer sa politique sur les jeunes exilés par Abdallah . Son régime a été également marqué par les scandales financiers opérés par son gendre Mohamed M'changama</font><font face="Times New Roman" size="5"> qui, après le coup d'état de 1995 s'est empressé de divorcer avec la fille du Président Djohar et a rejoint le Président Mohamed Taki Abdoulkarim . </font></p>
<p><font face="Times New Roman" size="5">Pour les comoriens, Said Mohamed Djohar restera à tout jamais " <font color="#ff00ff">Papa Djo</font> ", le père de la démocratie comorienne , celui qui a organisé avant le Bénin les fameuses Conférences Nationales et celui qui a permis au peuple Comorien</font><font face="Times New Roman" size="5"> : <strong><font color="#ff00ff">wanantsi</font></strong> de participer à la vie politique qui jusque-là était réservée qu'aux notables.</font></p>
<p><font face="Times New Roman" size="5">Comme il fut écrit dans un journal comorien au lendemain de sa mort, " <font color="#ff00ff">Papa Djo</font> " était un homme honnête, intègre, courageux, qui, a toujours combattu la cause des plus démunis. Il a été écrit aussi qu'il était aussi manipulé à son insu par son gendre Mchangama.</font></p>MOHAMED SAID DJOHARMOURADJAE ALI
http://politiciens-comores.blogs.fr/page_2.html#a140541
<div id="result_box" dir="ltr"><font face="Times New Roman" size="5"><font color="#ff00ff">Ali Mroudjaé</font> est né en 1939 à Moroni . Ancien Premier ministre et ministre des affaires étrangères des Comores dans les années 80 . <font color="#ff00ff">Mroudjaé</font> devint ministre des affaires étrangères après le coup d'Etat de Bob Denard portées Ahmed Abdallah au pouvoir, en 1978. Il a poursuivi dans cette position jusqu'au 8 février 1982, lorsqu'il est devenu Premier ministre. Il a quitté le bureau du Premier Ministre le 31 décembre 1984. Il faisait partie de l'Union pour le progrès comorienne.</font></div>MOURADJAE ALISAID ATTHOUMANI
http://politiciens-comores.blogs.fr/page_2.html#a140540
<p><font face="Times New Roman" size="5"><font color="#ff00ff">Said Atthoumani</font> est un homme politique . Il a servi comme ministre de l'Intérieur brièvement au cours de 1975, les Comores accédé à l'indépendance , mais il a perdu ce poste lorsque Ali Soilih prend le pouvoir . Le 13 mai 1978 , Atthoumani aidé à mener un coup d'Etat dans lequel Soilih a été renversé. </font></p>
<p><font face="Times New Roman" size="5"><font color="#ff00ff">Said Atthoumani</font> devenu président d'une direction politico-militaire , qui a pris la responsabilité du gouvernement . Dix jours plus tard, il abandonne le pouvoir à une autre direction dirigé par Ahmed Abdallah et Mohamed Ahmed. Peu d'autres informations sont disponibles sur Atthoumani sauf que plusieurs autres membres de sa famille sont des hommes politiques .</font></p>SAID ATTHOUMANISAID HASSANE SAID HACHIM
http://politiciens-comores.blogs.fr/page_3.html#a140538
<div id="result_box" dir="ltr"><font face="Times New Roman" size="5">Saïd Hassane Saïd Hachim est né en 1932 . Un des hommes forts de la politique comorienne. Il a été Ministre des affaires étrangères de 1991 à 1993. Il a remplacé Mtara Maecha . Ex-ambassadeur des comores à paris . plusieurs fois candidat dans les élections presidentielles . En 1996, il a contesté les élections présidentielles, éventuellement perdre à Mohamed Taki Abdoulkarim.</font></div>SAID HASSANE SAID HACHIMSAID ALI SAID IBRAHIM
http://politiciens-comores.blogs.fr/page_3.html#a140536
<p><font face="Times New Roman" size="5">Fils du sultan Saïd Ali, Saïd Ibrahim est né le 17 avril 1911 à Tananarive (Madagascar). <br />Comme de nombreux étudiants comoriens cherchant à entrer dans l'administration indigène, il passe par l'école Le Myre de Villers.</font></p>
<font face="Times New Roman" size="5">
<p><br />Après avoir été écrivain-interpète, en 1938, après plusieurs sollicitations, il obtient le poste qu'il convoite, à titre politique. Il devient chef de l'administration indigène à la Grande Comore, avant d'être affecté aux services du Haut-Commissariat à Madagascar.<br />Après la Seconde Guerre mondiale, il est nommé Gouverneur de première classe (1946).</p>
<p><br />pendant cette période, il se montre très intéressé par les pays arabes. Il fait un pèlerinage à la Mecque, puis séjourne au Caire où il rencontre le roi Farouk, et visite l'université Al-Azhar. En 1947/1948, il essaie d'organiser une quête en faveur de la Ligue arabe en lutte contre Israël. </p>
<p><br />En 1951, il demande sa mise en disponibilité, sans doute pour pouvoir se consacrer entièrement à la politique. Face au parti vert de S.M. Cheik, il apparaît comme le chef du " parti blanc ". Il organise avec son demi frère Saïd Houssein le Parti de l'Entente Comorienne (PEC), et adhère au RPF du général de Gaulle.<br />Après avoir tenté à deux reprise (en 1951, sa candidature est invalidée, officiellement elle est présentée avec du retard; et en 1957, il perd ) de ravir la place de député à l'Assemblée nationale à S.M. Cheik, il s'allie à celui-ci grâce à l'entremise des grands notables. Ils présentent une liste commune à l'Assemblée territoriale.</p>
<p><br />Ayant changé de tactique en refusant de s'attaquer systématiquement à l'administration, il est nommé Ministre des Finances de 1957 à 1958.<br />En 1959, les Comores obtiennent deux sièges à l'Assemblée nationale, tout enrestant une seule circonscription électorale, il fait équipe avec son nouvel allié et entre au palais Bourbon avec celui-ci. En 1962 et 1967, il fait équipe avec Mohamed Ahmed dans les élections. </p>
<p><br />De 1958 à 1970, il est élu et réélu président de l'Assemblée territoriale, puis de la Chambre des Députés des Comores. Cela n'est possible que grâce à l'alliance qu'il a tissé avec les verts. <br />Après la mort de Saïd Mohamed Cheik, il devient l'homme fort des Comores, mais pas pour très longtemps. Il est élu président du Conseil de gouvernement le 2 avril 1970 par 25 voix et 6 abstentions. Il est réélu le 28 juin 1971 avec 30 voix et une abstention.</p>
<p><br />De tous les côtés l'élite politique demande l'indépendance, tandis que lui affirme qu'il n'y a " pas d'indépendance politique sans indépendance économique ". Il demande plus de coopération entre les Comores et la France. Une biographie de l'administration coloniale datant de 1970 note: " Son goût naturel pour la conciliation, son état de santé ne le prédisposent pas à soutenir de dures luttes. "<br />Il obtient de la France la dissolution de l'Assemblée territoriale qui lui est hostile en 1971. Mais dans la nouvelle assemblée les verts et une partie des blancs s'allient pour renverser son gouvernement, censuré en juin 1972. Il pense encore revenir au pouvoir à l'occasion de nouvelles élections. Mais il n'aura pas le soutien qu'il escompté.</p>
<p><br />Il meurt en 1975 en France, des suites d'une maladie, après avoir donné des signes de soutien au coup d'État du 3 août, et s'être déclaré prêt à assumer le pouvoir.<br />Fait rare chez les notables, il a toujours refusé de faire le grand mariage.</p>
</font>SAID ALI SAID IBRAHIMSOUEF MOHAMED ELAMINE
http://politiciens-comores.blogs.fr/page_3.html#a140535
<div id="result_box" dir="ltr"><font face="Times New Roman" size="5">Souef Mohamed El-Amine est né en 1964 à Mitsoudjé dans la région de hambou . Après de longues années d'études à l'extérieur , notamment dans les pays arabes ( Arabie Saoudite , Maroc , Pakistan , ....) , il régage Moroni . Diplomate , polyglotte . Ancien téchnicien à la présidence de beit salam sous le régime de papa Djo . Ex-répresentant des comores auprès de la ligue des etats arabes et Ambassadeur au caire . Ancien Commissaire/ministre des affaires étrangères. Il est devenu ministre des affaires étrangères en 1999, après le coup d'État militaire du Azali Assoumani. Il a démissionné brièvement en janvier 2002, avec Assoumani, pour faire place à un gouvernement de transition, mais il a été reconduit dans ses fonctions quelques mois plus tard lorsque Assoumani a gagné les élections et le pouvoir. Il a perdu son poste de nouveau en juillet 2005 lors d'un remaniement ministériel. Elu député de sa région et cède la place a son adjoint en 2004 . Premier président du " club des cityens " , groupe de réflexion ( société civile ) . </font></div>SOUEF MOHAMED ELAMINETARMIDI BIANRIFI
http://politiciens-comores.blogs.fr/page_3.html#a140533
<table id="texttable">
<tbody>
<tr valign="top">
<td class="almost_half_cell">
<div id="result_box" dir="ltr"><font face="Times New Roman" size="5">Bianrifi Tarmidi était le Premier Ministre des Comores , du 2 décembre 1999 et jusqu'au 29 novembre 2000. Il a été nommé Premier Ministre sous le régime du colonel Azali Assoumani , après avoir pris le pouvoir en Avril 1999 de coup d'État. Il a été nommé à réduire la pression internationale sur le régime , mais Assoumani conservé toute sa puissance. <br /><br />Bianrifi Tarmidi est actuellement ministre de la justice et de l'intérieur dans le gouvernement autonome de Mohéli .</font></div>
</td>
</tr>
<tr>
<td id="submitcell"> </td>
<td> </td>
</tr>
</tbody>
</table>TARMIDI BIANRIFI